
Ce que Gaza nous dit sur l’état du droit international humanitaire
Le Devoir, 12 août 2024, François Audet
« C’est l’accès aux populations civiles dans les zones de conflits qui est devenu le principal défi des organisations humanitaires. Cet accès s’inscrit pourtant dans le DIH que les États prenant part aux hostilités se doivent de respecter.
[…]
Ce que nous apprend Gaza, c’est que le DIH, l’un des socles qui distinguent encore les états démocratiques des régimes totalitaires, est de plus en plus violé. »
Auteur : François Audet, directeur de l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM) et de l’Observatoire canadien sur les crises et l’action humanitaires (OCCAH).