L’IEIM accueille une nouvelle unité membre : Développement économique et inégalités des territoires (DEIT)

C’est avec grand plaisir que l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM) accueille l’équipe de recherche sur le Développement économique et les inégalités des territoires (DEIT) à titre de membre institutionnel.

Développement économique et inégalités des territoires (DEIT)

L’équipe de recherche sur le Développement économique et les inégalités des territoires (DEIT) regroupe quatre professeurs du département des sciences économiques de l’ESG-UQAM, dont Julien Martin, précédemment titulaire de la Chaire stratégique de recherche de l’UQAM sur l’impact local des firmes multinationales. Les autres membres de l’équipe sont Kristian Behrens, Florian Mayneris et Marlon Seror.

DEIT a pour mission de produire et de diffuser des connaissances sur les dynamiques économiques et résidentielles des régions, des villes et des quartiers. En s’appuyant sur le croisement de données géolocalisées concernant les entreprises, les individus et les infrastructures (registres d’entreprises, données de recensement, cartes de réseaux de transport ou d’espaces verts, etc.), les membres du DEIT analysent le développement, la résilience et l’exposition à l’économie mondiale des territoires. Ils portent une attention particulière aux inégalités spatiales.

Les grappes d’entreprises, la gentrification, les migrations intra- et internationales ou encore les choix de localisation des entreprises font partie des thèmes largement étudiés par le DEIT. L’équipe conduit par ailleurs régulièrement des évaluations quantitatives de l’impact de politiques géographiquement ciblées (zones franches, aides aux entreprises, construction et réhabilitation d’infrastructures urbaines, etc.). Les terrains d’études du DEIT sont multiples : Canada, États-Unis, mais aussi Europe, Chine, Russie et Afrique.

Consultez le site de DEIT pour en connaître davantage sur ses objectifs et activités.

Ainsi, l’IEIM regroupe aujourd’hui 30 unités de recherche, soit 19 unités constituantes et leurs observatoires, dont les activités se déploient dans l’un ou l’autre des quatre axes de recherche suivants : (i) mondialisation et gouvernance ; (ii) sécurité et diplomatie ; (iii) identité, citoyenneté et diversité ; et, enfin, (iv) droit international et droits humains. L’ajout de cette nouvelle unité de recherche sera sans aucun doute un atout incontestable dans la poursuite de ses missions.