Les convergences et solidarités de la mondialisation – Table ronde 2 : La défense des droits humains
22 novembre 2005
La deuxième table ronde portera sur La défense des droits humains. L’internationalisation des droits humains – des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels – peut être interprétée comme l’aspiration à une éthique commune de l’humanité, celle de l’égale dignité de tous les être humains. À travers le monde, des mouvements de base invoquent et pratiquent les droits humains comme un puissant levier pour améliorer la condition humaine.
Présidence :
-Bruce Broomhall, directeur du CEDIM (CEIM)
Panélistes :
-Peter Leuprecht, directeur de l’IEIM
-Lucie Lamarche, professeure, département des sciences juridiques de l’UQAM
-Iris Almeida, Conseillère spéciale auprès du Président, Développement des politiques et relations avec le Parlement, Droits et Démocratie
-Tamari Langlais, Union des producteurs agricoles (UPA)
Quand : 22 novembre de 19h à 21h
Où : Bibliothèque nationale, à l’intérieur de l’auditorium de la Grande bibliothèque, au 475, boul. de Maisonneuve (intersection Berri).
Entrée libre
Renseignements : Anik Veilleux : veilleux.anik@uqam.ca ou 987-3000 # 1663
Le sujet abordé lors de la troisième table ronde sera celui de La lutte contre la pauvreté. La pauvreté dans laquelle croupit une majorité de l’humanité conduit à de multiples violations des droits humains. Le fossé entre riches et pauvres se creuse, à l’intérieur des pays et entre pays. Pourtant, l’objectif de réduction de la pauvreté est sur toutes les lèvres, dont celles des grandes institutions financières internationales; mais la plupart des stratégies officielles, notamment celle des ajustements structurels, semblent avoir échoué. En même temps, de nombreuses organisations non gouvernementales travaillant sur le terrain s’efforcent de promouvoir et de mettre en pratique d’autres modèles de développement, de développement humain et durable.
Enfin, la quatrième table ronde portera sur La promotion de la diversité. La reconnaissance de la diversité en tant que valeur à défendre et à promouvoir est, historiquement parlant, d’une date récente. Pendant longtemps, notamment à l’époque du nationalisme ethnocentrique, les « grandes nations » étaient considérées comme porteuses du « progrès historique ». De nos jours, l’impérialisme culturel est loin d’avoir disparu; les forces qui essaient de lui résister s’organisent. Les peuples autochtones, les minorités et les petites nations réclament la reconnaissance de leur diversité.
Les dates et le lieu des tables rondes 3 et 4 seront disponibles sous peu