Penser le nationalisme en contexte pandémique
Ce document a été rédigé par Jeremy Elmerich, candidat au doctorat en science politique à l'UQAM, membre étudiant du CRIDAQ et récipiendaire de l’une des Bourses-stages Banque Scotia-IEIM 2020., 31 août 2020
Dans le cadre de la série Regards de l’IEIM, nous avons le plaisir de vous proposer cette semaine un texte intitulé Penser le nationalisme en contexte pandémique . Le texte vise notamment à revenir sur l’influence du nationalisme dans la gestion de la pandémie de COVID-19 et à analyser quelques-unes de ses manifestations, suggérant des terrains de recherche que l’auteur juge fertiles pour mieux comprendre un ressort dont les potentialités sont multiples.
La pandémie de coronavirus qui a frappé notre planète a paru réveiller ou révéler la vigueur d’un phénomène toujours prégnant.
Sur l’autel d’une forme de préférence nationale ou d’un « intérêt supérieur de la nation », de nombreux États se sont livrés à des pratiques déloyales. Ici et là, des masques ont été dérobés, jusque sur le tarmac des aéroports, et parfois au sein d’un même État .
Le désir d’excellence collective (et de reconnaissance) peut enjoindre à une saine émulation, comme au respect des consignes élémentaires de sécurité collective. C’est un enseignement dont il faudrait se rappeler, dans la quête d’un remède.
Découvrez le texte complet en pièce jointe. Auteur Jeremy Elmerich est doctorant en science politique à l’UQAM et membre étudiant du Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Il est également récipiendaire de l’une des Bourses-stages Banque Scotia-IEIM 2020.
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