Lancement de l’ouvrage: «La responsabilité sociale des entreprises dans le secteur minier: réponse ou obstacle aux enjeux de légitimité et de développement en Afrique ?»

Jeudi 29 septembre 2016 de 18h à 20h, au local J-2805 (UQAM)

LA RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES DANS LE SECTEUR MINIER: RÉPONSE OU OBSTACLE AUX ENJEUX DE LÉGITIMITÉ ET DE DÉVELOPPEMENT EN AFRIQUE ? Publié sous la dir. de Bonnie Campbell et Myriam Laforce (2016)

DATE : Jeudi 29 septembre 2016 de 18h à 20h LIEU : Salle des Boiseries, Local J-2805, Pavillon Judith-Jasmin, UQAM, 405 rue Ste-Catherine Est, Métro Berri-UQAM RÉSUMÉ : La contribution des activités minières au développement des pays du Sud, longtemps considérée comme une évidence, a depuis vingt ans fait l’objet de remises en question. En effet, l’expérience des États ayant adopté des réglementations favorables à l’investissement privé dans le secteur permet de douter de son pouvoir de catalyseur pour le développement et la lutte à la pauvreté. Parmi les stratégies aujourd’hui déployées en vue d’améliorer la contribution du secteur au développement, plusieurs s’inscrivent dans une perspective de valorisation de la responsabilité sociale des entreprises, notamment en Afrique. Cet ouvrage collectif vise à contraster les réponses qui sont proposées pour assurer une plus grande responsabilisation des entreprises dans le secteur minier africain. Il présente un état des lieux des stratégies des acteurs privés, publics et multilatéraux, documenté par la suite par des études de terrain. En se penchant sur des initiatives qui ont comme objectif d’assainir les pratiques minières au Ghana, au Mali et en République démocratique du Congo, l’ouvrage souligne l’importance de l’ouverture d’espaces politiques par l’implication des acteurs auparavant exclus – communautés locales et pouvoirs publics, notamment en assurant une plus grande transparence, la reddition de compte, et l’accès à l’information. Car c’est à partir de tels éléments, et notamment la participation des populations aux processus de décision, de suivi et, si nécessaire, de redressement, que les enjeux de légitimité des activités des compagnies pourront être résolus de manière durable. AVEC LA PARTICIPATION DE :
  • Bonnie CAMPBELL, Professeure d’économie politique au Département de science politique de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM), Directrice du Centre interdisciplinaire de recherche en développement international et société (CIRDIS) et du Groupe de recherche sur les activités minières en Afrique (GRAMA).
  • Myriam LAFORCE, Titulaire d’une maîtrise en science politique, Chercheure auCIRDIS et au GRAMA.
ET LES COMMENTAIRES DE:
  • Jeffrey DAVIDSON, Conseiller en responsabilité sociale des entreprises de l’industrie extractive, Affaires mondiales Canada
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