Le Canada, contestant la vision développée par l’administration Bush, s’était associé en 2003 au front du refus de la guerre en Irak. Cette décision prenait appui sur une politique étrangère et sécuritaire résolument communautaire. Depuis quelques mois et en ce lendemain des élections du 28 juin 2004, nous sommes en droit de nous interroger sur la volonté qui sera celle du gouvernement fédéral de maintenir le cap en affirmant sa différence face aux États-Unis. L’article complet se trouve en pièce jointe.
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