Effets de la crise de la COVID-19 sur la connectivité économique des pays du G7
Ce document a été rédigé par Adam Touré, candidat au doctorat en sciences économiques à l’UQAM, membre étudiant du CRILFM et récipiendaire de l’une des Bourses-stages Banque Scotia-IEIM 2020, 7 septembre 2020
Dans le cadre de la série Regards de l’IEIM, nous avons le plaisir de vous proposer cette semaine un texte intitulé Effets de la crise de la COVID-19 sur la connectivité économique des pays du G7. Le texte vise notamment à mesurer l’impact de cette crise du grand confinement sur la connectivité, terme qui sera défini dans ce texte, des pays du G7.
En 2019, se basant sur certains indicateurs économiques et financiers, plusieurs annonçaient des risques de récession pour le début de l’année 2020, mais personne n’a pensé que nous vivrions une crise d’origine sanitaire.
Le Canada est l’un des pays les moins influents du G7 sur le plan des risques causés par la production industrielle des autres pays.
Le secteur industriel canadien est le deuxième plus exposé du réseau. Ces risques proviennent des États-Unis et des deux pays les plus touchés en termes de baisse de production industrielle, la France et l’Italie.
Découvrez le texte complet en pièce jointe. Auteur Adam Touré est doctorant en sciences économiques à l’UQAM et membre étudiant de la Chaire de recherche sur l’impact local des firmes multinationales (CRILFM). Il est également récipiendaire de l’une des Bourses-stages Banque Scotia-IEIM 2020.
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