De la réforme du secteur minier à celle de l’Etat

19 janvier 2010, Marie Mazalto

De la réforme du secteur minier à celle de l’Etat, par Marie Mazalto.

Chapitre publié dans l’ouvrage sous la direction de Théodore Trefon, « Réforme au Congo (RDC), Attentes et désillusions« , L’harmattan, Musée Royal de l’Afrique centrale, cahiers africains, No 76, 2009. PP 171-191.

Un peu plus sur cet ouvrage:

La RDC est un vaste laboratoire où se rencontrent de nombreux partenaires internationaux. Mûs par l’ambition de réhabiliter ce vaste État en faillite, tous visent le rétablissement de la sécurité, la réduction de la pauvreté, l’amélioration de la gouvernance et de la gestion macroéconomique et, enfin, la réhabilitation des infrastructures. Toute fois, outre l’importance des financements, la compétence des experts et le désir de changement affiché par les dirigeants congolais, rares sont les signes tangibles de succès.
La volonté d’orchestrer les réformes est freinée par plusieurs obstacles.
Historiquement, la crise est implantée. Elle est complexe sur le plan social et le monde politique y est totalement enlisé. S’il est
difficile de savoir par où commencer en matière de planification, il est financièrement impossible de répondre simultanément à l’ensemble des besoins.

L’ouvrage fait le constat suivant:  » nous avons identifié les problèmes, nous en connaissons les causes et les solutions… mais les choses vont de mal en pis « .

Les contributeurs montrent que la responsabilité de cet échec est partagée par la communauté internationale, faute d’accord sur un schéma directeur, et par les autorités congolaises, qui s’accommodent d’une situation de statu quo. Ce livre poursuit la réflexion entamée dans deux autres ouvrages de Theodore Trefon déjà parus dans la collection  » Cahiers africains « : Ordre et désordre à Kinshasa (2004) et Parcours administratifs dans un État en faillite (2007)

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